Organiste : Pierre Offret

 

 

Au Programme

Johannes Brahms (1833-1897) : Prélude et fugue en la mineur WoO 9

Max Reger (1873-1916) : Benedictus Op.59 n°9

Felix Mendelssohn-Bartholdy (1809-1847) : Ouverture de l’oratorio « Paulus » (Transcription pour orgue de Thomas William Best)

Thomas Kientz (né en 1991) : Dominus illuminatio mea

Marcel Dupré (1886-1791) : Le monde dans l’attente du sauveur (1er mouvement de la Symphonie Passion)

Charles-Marie Widor (1844-1937) : Andante sostenuto (2ème mouvement de la Symphonie pour orgue n°9 op.70 « Gothique »)

Joseph Ermend Bonnal (1880-1944) : Cloches dans le ciel (3ème des Paysages euskariens)

 

 

Entrée libre

Placement libre
Veuillez, s’il vous plaît, arriver 30 minutes avant le début du concert

 


 

Pierre Offret : Après de premières études musicales dans les classes de Damien Simon et Eva Darracq aux conservatoires de Rennes et de Bordeaux, Pierre Offret se perfectionne à Versailles auprès de Jean-Baptiste Robin et, à Saint-Maur-des-Fossés, auprès de Pierre Pincemaille. Elève de Vincent Warnier à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot, il reçoit également les conseils réguliers de Paul Goussot pour l’improvisation.

Lauréat du concours international d’orgue Jean-Louis Florentz de l’Académie des Beaux-Arts (grand prix d’interprétation et prix du public – « Prix Pierre Pincemaille »), premier prix du concours international d’orgue Augustinus Franz Kropfreiter de Sankt-Florian (Autriche), Pierre Offret se produit régulièrement en concert sur des instruments prestigieux (églises de La Madeleine et de Notre Dame d’Auteuil à Paris, Chapelle royale et cathédrale de Versailles, abbatiale Sainte-Croix de Bordeaux, Basilique de Saint-Denis…).

Parallèlement à ses études musicales, Pierre Offret a réalisé un riche cursus universitaire. Diplômé de Sciences politiques, d’HEC-Paris et de l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm, ancien élève de l’ENA, il est, depuis janvier 2018, haut fonctionnaire au ministère de l’Economie et des Finances.
Il a par ailleurs suivi, à l’université Paris-Sorbonne, un master de musicologie qui l’a conduit à travailler sur l’influence poétique de Johann Sebastian Bach sur l’œuvre de Franz Liszt.